En fin de semaine dernière au Mont-Sainte-Anne se déroulait une étape du circuit de cyclocross. De valeureux athlètes se sont affrontés dans ce parcours rapide et parsemé d’embûches, soulevant l’admiration de la foule qui se massait cinq d’épais sur les côtés. Pierre Boilard (photo) a fait un effet particulièrement saisissant sur la gent féminine. Son charisme et son sex-appeal, joints à ses talents athlétiques ne laissent personne indifférent. Moi-même, je… euh, où en étais-je? ah, oui, les filles qui trippent sur Pierre. Mais au fait, cache-t-il une arme secrète de séduction? Que se passe-t-il de l’autre côté, à l’envers de la médaille?
Pierre Gendron nous donne un indice dans cette description du parcours: » Quel parcours! Un départ en montée, du plat zigzaguant dans lequel il faut piloter poliment si on ne veut pas glisser, deux tournants (avec des berms!), un bout d’asphalte, une montée boueuse vélo en main, un tas de sable qui finalement se faisait sur le vélo, une drop rigolote, une belle section très photogénique sur les rives du lac , une montée abrupte vélo en main, un single track serré en forêt avec deux petites racines qui dérivaient le pneu avant et un arbre à droite duquel des petits bouts de branche dépassaient. »
Ben oui, c’est ça. Les organisateurs ont laissé des petits bouts de branches saillants pour que le monde s’accroche les cuissards dedans, comme on l’a dénoncé, il s’agit d’une nouvelle stratégie de marketing pour tenter une dernière fois de vendre le sport.
Voici donc à quoi ressemblait l’envers de la médaille. Bravo Pierre, ce fut tout un spectacle. Clap, clap, clipiclap (applaudissements de quilles).
Nous remercions Brigitte pour la photo, ainsi que Manon Bourque, juste au cas où.
Cette photo a fait l’objet d’une devinette de la semaine et c’est Chose Lapierre qui se mérite le grand prix, un gros sac plein de rasoirs jetables, qui lui sera remis s’il se présente à la prochaine course. Merci d’avoir participé au moins 20 fois.
Pour le calendrier complet des événements, c’est par ici.